Assurément il n’est pas malaisé de reconnaître dans mainte et mainte scène de nos vieux Mystères les mœurs bourgeoises ou les usages seigneuriaux du temps. […] Je ne veux que vous citer, en terminant, quelques traits qui puissent vous laisser une impression moins défavorable de ce vieux théâtre des Confrères, qu’il ne faudrait pas non plus trop rabaisser. […] Dans le Mystère du Vieux. […] Le vieux monde se réveille là-dessus. […] Notre tâche d’ailleurs est elle-même à son terme ; car entre Patelin et Molière, de même qu’entre les plus vieux Mystères et le Cid, il n’y a rien.