Pendant cette absence, un jeune homme, introduit auprès d’elle par l’entremise d’une vieille, lui donne d’autres leçons qu’elle reçoit avec docilité ; et,-au retour de son mari, elle n’a rien de plus pressé que de se vanter à lui de sa nouvelle science. […] S’il était vieux, imbécile et maussade, l’aversion d’Agnès pour lui serait toute naturelle, et il n’en résulterait aucune leçon ; mais il est dans la force de l’âge ; il est homme d’esprit et homme du monde : son infortune alors ne provient que de son faux calcul, et elle en est la juste punition.