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153. (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490

Son malheur fut donc d’entrer dans la vie avec des illusions qu’allait décourager l’expérience. […] La vulgarité de la vie courante eût été trop mesquine, sous le feu de la rampe. […] mais pour l’homme fait, son théâtre vaut l’école de la vie ; et c’est sa gloire. […] Cette disposition à regarder en silence s’accrut avec l’âge et les chagrins de la vie. […] Treize ans de vie nomade, quinze ans de séjour à Paris, voilà toute la vie de Molière.

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