J’aime mieux un vice commode Qu’une fatigante vertu. […] Rousseau (voir plus haut, p. 170, note 5), dit avec beaucoup de justesse : « Le vice d’Angélique n’est que spirituel ; dans Julie, il est intéressant, ennobli par la passion ; il emprunte les dehors de la vertu, tout au plus est-il présenté comme une faiblesse rachetable… La Nouvelle Héloïse a fondé celte école de l’adultère sentimental, qui de nos jours a envahi le roman, le théâtre, et jusqu’à certaines théories philosophiques. » 619.