/ 159
73. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

Il jeta les yeux autour de lui, disposé à reconnaître la faveur du roi, en faisant la guerre aux ridicules et aux vices de son temps. […] La comédie de Molière apprend à le faire, ce choix, en montrant le vice des unions mal assorties et en fondant le repos et l’honneur des vieilles années sur la sympathie et la fidélité des jeunes. […] Le second reproche que Rousseau adresse à Alceste, est de ne s’en prendre qu’à des ridicules privés et non à des vices publics. […] Un homme qui commence comme celui de Molière doit finir comme celui de Fabre : le premier porte en germe dans son sein tous les vices du second. […] Son hypocrisie religieuse n’arrêta pas les progrès du vice.

/ 159