Sans doute, la mère a des qualités ; mais que vaut le père ? Que vaut la grand-mère ? […] C’est que la famille ne vit que par 1e père, et Molière semble avoir absolument ignoré ce qu’est, ce que vaut le père. […] Que valent tous ses autres mérites, s’il n’est capable de donner à sa femme et à sa patrie des enfants dignes de lui, s’il ne peut remplir ce rôle saint par lequel l’homme ressemble le plus à Dieu ?