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145. (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492

On voyageait peu, on ne correspondait guère, et l’on n’avait pas, comme aujourd’hui, pour y suppléer, vingt feuilles publiques destinées à porter en tous lieux les événements, les usages, les expressions et les modes de la capitale. […] L’usage admis des personnalités louangeuses entraîne facilement celui des personnalités satiriques, et l’on finit par ne se refuser guère plus celles-ci que les autres.

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