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119. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

C’est pourquoi le Théâtre-Français a pris l’usage de donner toujours une pièce comique ou bouffonne après la tragédie : « On vient de jouer Polyeucte ; le théâtre change ; on joue l’École des Maris. […] L’orateur termina, suivant l’usage, par un compliment au roi. […] Cette grande roideur des vertus des vieux âges Heurte trop notre siècle et les communs usages ; Elle veut aux mortels trop de perfection : Il faut fléchir aux temps. […] Nous avons comme nos pères une âme à sauver ; nous devons la sauver au risque de heurter les communs usages. Le sacrifice de l’usage, requis par ce devoir impérieux, n’est pas au-dessus de nos forces.

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