Elle est racontée dans la Vie de Scaramouche, par le sieur Angelo Constantini, comédien ordinaire du roi dans sa troupe italienne, 1698, chap. 25. […] Ce qui fait peu d’honneur au moins à son goût, c’est que, tandis qu’il donnait sept mille livres à la troupe de Molière, il donnait à la troupe de Scaramouche quinze mille livres de pension.