Je m’entends reprocher de n’avoir point développé l’âme de Molière ; de ne l’avoir point montré toujours sensible et compatissant, assignant aux pauvres un revenu annuel sur ses revenus, immolant aux besoins de sa Troupe les nombreux avantages qu’on lui faisait envisager en quittant le Théâtre, sacrifiant même sa vie à la pitié qu’il eut pour des malheureux, en jouant la Comédie la veille de sa mort.