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3. (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-

Trompés, moqués, à qui s’en prennent-ils dans leurs douleurs ? […] Eh bien, il ne nous parle que de ce qui est à côté de lui ; son regard ne s’élève jamais au-dessus de l’objet qui le frappe directement ; sa haine, je me trompe, sa mauvaise humeur, ne l’emporte pas plus que son amour vers les régions supérieures qui lui sont interdites. […] Personne ne s’y trompe, tout le monde est dans le secret. […] Vous mentirez, je ne m’y tromperai pas, et pourtant je vous écouterai avec plaisir. […] Molière méprise la vieillesse et semble aimer le coquin qui la trompe adroitement ; il est pour Scapin contre Géronte.

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