Le sujet, c’est un mari trompé par sa femme et par surcroît tellement ridiculisé par elle que le spectateur est évidemment invité à rire avec elle du mari qu’elle trompe et qu’elle ridiculise. […] Car, remarquez bien, c’est une pièce où l’amant ne trompe pas seulement le mari ? mais où il trompe aussi la femme et exploite, pour tromper la femme, l’amour même de la femme pour son mari. […] Les contemporains ne s’y sont pas trompés. […] Mais ne nous y trompons pas !