Je divertis le Prince par les spectacles que je lui donne ; je le rebuterai par un travail serieux, & mal conduit. […] Je venois arrêter vôtre travail ; car je ne crois pas que vous eussiez passé outre. […] Faites cela, je vous en prie, je vous verrai souvent pour suivre vôtre travail. […] Corneille l’aîné fit tous les autres vers qui se recitent, & Moliere avertit lui-même que ce grand homme n’avoit emploié qu’une quinzaine de jours à ce travail. […] Cet Auteur avoit traduit presque tout Lucrece : & il auroit achevé ce travail, sans un malheur qui arriva à son ouvrage.