II) : le sonnet d’Oronte séduit le lecteur surpris par l’agrément de l’harmonie et du trait ; mais Molière a raison de résister énergiquement à l’invasion de ces colifichets dont le bon sens murmure.
II) : le sonnet d’Oronte séduit le lecteur surpris par l’agrément de l’harmonie et du trait ; mais Molière a raison de résister énergiquement à l’invasion de ces colifichets dont le bon sens murmure.