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174. (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47

Nous allons y rencontrer un auteur dramatique exceptionnel, si exceptionnel qu’à aucune époque et dans aucun pays on ne peut en trouver un autre, je ne dis pas qui lui soit comparable, mais qui ait seulement les grands traits communs avec lui. […] Quant à Philaminte, nous la voyons pédantesque avec ses gens, insolente avec son mari, cruelle avec sa fille ; d’un autre côté et dans les choses de l’intelligence justement, elle n’apporte ni sérieux ni finesse, le fond manque ; enfin, et ce trait est le plus terrible, son homme, c’est Trissotin.

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