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17. (1716) Projet d’un traité sur la comédie pp. 110-119

J’avoue que les traits plaisants d’Aristophane me paraissent souvent bas. […] Il a peint par des traits forts presque tout ce que nous avons de déréglé et de ridicule. […] Mais quoiqu’on doive marquer chaque passion dans son plus fort degré, et par ses traits les plus vifs, pour en mieux montrer l’excès et la difformité, on n’a pas besoin de forcer la nature et d’abandonner le vraisemblable.

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