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165. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354

               Des enfants de Japhet toujours une moitié                    Fournira des armes à l’autre : « Voilà le beau naturel ; voilà les traits qui plaisent aux esprits délicats. […] Ces traits sont faits pour le peuple326. […] comme si le goût de la petite monnaie philosophique n’était pas un des traits de l’esprit français, prompt à vulgariser toutes les richesses de l’esprit humain dont il est l’interprète ! […] Le dernier trait, l’acte suprême du pouvoir exercé par lui sous l’autorité du roi, fut l’exécution d’une coterie qui, par l’austérité réelle ou affectée de ses mœurs, était importune à la cour. […] Il y a dans son caractère deux traits dont la connaissance achève de répandre sur la nature spéciale de son génie comique tout le jour dont notre intelligence a besoin.

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