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112. (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405

Le correcteur s’était attaché à faire disparaître le mot roi et tout ce qui a trait à la cour et à la noblesse. […] Ainsi croissent les légendes, un trait s’ajoutant à l’autre. […] On se souvient peut-être du trait que rapporte Fléchier dans ses Mémoires sur les grands jours d’Auvergne : « M. […] On rapporte de lui des traits d’une magnificence presque royale. […] Parlons maintenant de cette Armande Béjart qui, elle, s’offre à nous sous des traits fort saisissables.

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