Cet artiste a l’esprit du trait et le sentiment de la couleur, mais outre que ses portraits sont faux, il ne leur donne pas, du moins aux femmes, la physionomie de leur temps, car chaque siècle imprime son caractère sur les figures. […] Et cette belle Geneviève Béjart « d’après un dessin ancien au trait ? […] C’est la vraie femme touchée par la passion ; dans le dessin au trait, je ne vois qu’un œil rond, un nez démesuré, « un arpent de gueule, » une livre supérieure en demi-cercle, tout un visage de marchande de pommes. […] Il y a pourtant plus d’un trait de caractère pris çà et là. […] » Souvent elle applaudissait à belles mains, quand un trait de caractère, un trait d’esprit, un trait de génie frappait son oreille.