En général, les tragédies n’eurent plus, au-dessus de celles de Rotrou, de Du Ryer, de Guérin de Bouscal, que la nouveauté du langage, et l’exactitude des plans. […] Dans la lettre suivante du 22 novembre, Robinet, après avoir annoncé la première représentation de la tragédie de Bérénice, de M. […] Nous profitons de cette occasion pour parler aussi d’un cabinet curieux, surtout en tragédies et en comédies, appartenant à M. le comte de Boulbon, qui nous en a offert la communication d’une manière extrêmement obligeante, nous ferons usage de cette offre dans les volumes suivants.