Nicomède, tragédie de M. […] La première de ces tragédies, « Pylade et Oreste, pièce nouvelle de M. […] Il vint trouver notre auteur, et lui soumit une tragédie qu’il avait composée pendant cette absence. […] On dit qu’il lui donna cent louis pour l’encourager à entreprendre une tragédie. […] Dans une tragédie, un prince meurt, un roi.