C’est sans doute sa propre opinion qu’il exprime, lorsqu’il met dans la bouche de Dorante1 ce parallèle de la tragédie et de la comédie : « Je trouve qu’il est bien plus aisé de se guinder sur de grands sentiments, de braver en vers la fortune, accuser les destins et dire des injures aux dieux, que d’entrer comme il faut dans les ridicules des hommes, et de rendre agréablement sur le théâtre les défauts de tout le monde.