Ainsi, la pièce comique servait d’introduction, de cadre à la pièce pastorale ; et celle-ci, à son tour, était destinée à recevoir ces morceaux de chant et ces entrées de ballet, dont le Roi avait fait choix. […] Attaqué par Despréaux, Cotin avait, à son tour, lancé contre lui quelques écrits satiriques : c’était une représaille juste, quoique bien inégale et bien imprudente. […] Despréaux à ce jeu répond par sa grimace, Et fait, en bateleur, cent tours de passe-passe.