/ 186
12. (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-

C’est que Célimène a touché l’endroit sensible, et le coup a été sûr. […] Iago touche au démon, Tartuffe reste un homme. […] Il trouvera à la fois l’immense et le vrai, le grandiose et le simple, le jour où il s’adressera à la vérité absolue qui lève et qui résout toute contradiction, — à la solution universelle de tous les problèmes, le jour où il touchera le centre de perspective d’où toute chose est vue à sa vraie place, le cœur de la science et le cœur de la vie.

/ 186