J’ennuierais sans doute le Lecteur de pousser plus loin cette matière ; en voilà assez pour faire connaître que mon Censeur a eu tort de se récrier si fortement sur ce que j’ai dit du jeu d’aujourd’hui par rapport à celui d’autrefois. […] Il devait observer à la simple lecture, que l’Ouvrage qu’il cite à son occasion, comme vrai, déshonorait la mémoire d’un Auteur illustre ; comme faux, faisait tort au jugement de l’Auteur du Dictionnaire.