Nous devrions être parfaits, à condition de ne pas lui ressembler toutefois ; nous ne le sommes pas, et nous avons tort, et il a raison. […] Il a toujours raison quand il commence, et tort quand il finit. […] Gomment la magistrature, — la magistrature d’alors, bien entendu, — pourrait-elle donner tort à Tartuffe ! […] Célimène a le tort d’écrire, — il ne faut pas écrire ! […] Et c’est pour cela, me demanderont les moralistes, en fronçant leur auguste sourcil, c’est pour cela que vous le condamnez, que vous lui donnez tort ?