Mais l’art du poète qui traduit un fourbe sur la scène, consiste à lui tendre des pièges que ne puisse soupçonner toute sa défiance, ou que ne puisse éviter toute son adresse ; surtout à soulever contre lui ceux de ses vices dont il est le moins maître, afin que, dans le combat de ses passions et de son intérêt, son masque tombe ou se dérange.