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127. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Il pardonna d’abord, mais son pardon, tombé sur un cœur ingrat, ne fut qu’un encouragement pour de nouvelles fautes, et il n’y eut plus alors de trêve à ses angoisses. […] Mais les fruits mûrs, détachés par leur secousses, tombaient presque tous de l’arbre ébranlé, avant que leurs mains eussent pu les saisir. […] A peine consacra-t-il une phrase de sa Critique, pour répondre aux anathèmes qui pourtant tonnaient fort et tombaient de haut sur lui. […] … Est-il vraysemblable qu’Alain et Georgette tombent tant de fois à genoux, dans les boues ? […] Pour les critiques intéressées, qui tombaient dans l’excès des satires jalouses, il n’avait que du dédain.

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