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94. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135

Ainsi, rien que par le titre de la chose représentée, on savait si l’on allait voir des gens du monde ou des gens du peuple, des bouffons ou des sénateurs, des élégances chastes, ou des satyres pleines de vin et de licences. […] À l’instant même je me mis à l’œuvre, et sur la page blanche j’écrivis le titre de mon nouveau chapitre. […] Mon titre écrit, j’allais bravement commencer, quand tout à coup je sentis comme un regard animé et mélancolique à la fois qui se posait sur mon épaule : c’était le regard de ce brave Henri, qui est bien l’homme le plus naturellement mécontent qui se soit jamais rencontré en mon chemin.

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