Lorsque, vingt après la mort de Molière, parut en tête du Théâtre de Boursault la Lettre du P. […] Bossuet n’a rien dit que de profondément juste contre le théâtre qui préparait la Régence. […] D’où il résulte qu’un théâtre parfaitement moral serait celui qui ne passionnerait jamais que pour le bien, comme un théâtre immoral est celui qui passionne pour le mal. […] Alors le moraliste doit être vivement préoccupé d’un divertissement intellectuel comme le théâtre. […] Il en est de même du théâtre.