Ce n’est pas une fois que Molière a mis sur le théâtre ces conduites criminelles, fardées sous l’excellent comique de sa verve intarissable, et rendues excusables en apparence par le caractère de ceux contre qui elles sont dirigées. […] Mais, en somme, sur ce théâtre, le vice est trop séduisant, l’honnêteté trop dissimulée. […] Je ne parle ni de vous, ni de moi, mais du peuple qui, depuis deux cents ans, vient tous les soirs remplir ce théâtre.