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15. (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908

Célimène est, par excellence, la grande coquette, et il semble bien qu’à la ville Armande tenait le rôle comme au théâtre. […] Ce que l’on veut surtout connaître, c’est la conduite privée de la femme, la place qu’elle tint dans l’existence de son mari. […] D’autres témoignages s’accordant ici avec celui de la Fameuse Comédienne, on peut tenir le fait pour assuré. […] Or, le langage qu’il tient dans la scène d’Auteuil est celui d’un fort vilain égoïste ; .jamais confident ne joua son rôle de façon plus piteuse. […] Un soir il n’y tient pas, s’introduit dans la loge d’Armande et se permet des familiarités.

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