Le grand, l’héroïque et le sublime étaient le partage de Corneille ; le galant, le tendre et le pathétique furent celui de ces auteurs modernes. […] Ces deux pièces ont été accompagnées de la Stratonice 2, dont le style est tout différent : l’auteur de cette pièce ne s’attachant qu’à faire des vers tendres, où il réussit fort bien… Je ne puis m’empêcher de vous dire que le théâtre a perdu l’illustre abbé de Boisrobert, qui par générosité s’est retiré de lui-même, de peur que ses pièces n’étouffassent celles des fameux auteurs qui se sont mis au théâtre depuis peu.