1801, Moliérana, 32, p. 61-62 Tome I, p. 561 Baron* prétendait que la force et le jeu de la déclamation étaient tels que des sons tendres et tristes, venant à porter sur des paroles gaies et même comiques, n’en excitent pas moins dans l’âme ces émotions douloureuses qui nous arrachent des larmes. […] L’Auteur de Cinna fit, à soixante-cinq ans, cette déclaration de Psyché à l’Amour, qui passe encore pour un des morceaux les plus tendres et les plus naturels qui soient au Théâtre.