La Fontaine, qui paya d’une si tendre et si noble reconnaissance les bienfaits du généreux Fouquet, assistait à la fête de Vaux, dont il nous a laissé une description en prose mêlée de vers, pleine à la fois de négligence et de charme.
La Fontaine, qui paya d’une si tendre et si noble reconnaissance les bienfaits du généreux Fouquet, assistait à la fête de Vaux, dont il nous a laissé une description en prose mêlée de vers, pleine à la fois de négligence et de charme.