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252. (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914

Au Théâtre-Français comme ailleurs, l’erreur est protégée par le temps. […] Qu’ils se donnent pour les collaborateurs des écrivains habitués à l’improvisation, qui se contentent d’indiquer leur pensée et ne prennent pas le temps de la développer, ce n’est pas là un sujet de reproche. […] Que le directeur du Théâtre-Français oblige les comédiens à rendre fidèlement la pensée de Molière : cette réforme profitera aux spectateurs, et la littérature dramatique de notre temps placera plus haut le but de son ambition.

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