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212. (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-

Molière et l’idéal moderne J’assistais, il y a quelque temps, au Théâtre-Français, à une représentation du Dépit amoureux. […] Les hommes de ce temps-là ne sont pas des chercheurs, des coureurs inquiets et fatigués, qui demandent à une tête chérie quelques jours de repos ; ils ne croient pas voir dans celle qu’ils aiment la réalisation de l’idéal adoré : l’idéal n’existe pas pour eux. […] Je le vois d’ici, tirant sa montre et perdant son temps.

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