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166. (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-

Comparé par les plus grands écrivains de son temps aux modèles du genre qu’il traitait, il a joui de son vivant de la protection d’un roi, de l’amitié d’une noblesse avare même d’estime, et de la constante adoration du public. […] J’en suis fâché pour la poésie des inscriptions et belles-lettres, mais les cheminées manufacturières de Chaillot et de Passy sont les seules colonnes possibles de notre temps. […] Excellentes pour le temps, celles de Molière étaient déjà moins une réalité qu’un tableau pour la régence, comme elles ne sont plus pour nous qu’une gravure d’un fort beau fini.

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