/ 171
83. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Jusqu’alors elle et son mari avaient eu la part entière, elle pour son talent, lui, à cause de sa femme. […] Sans la mort inattendue de la Du Parc, nous n’aurions peut-être pas vu l’amour de Racine pour la Champmeslé et le talent de la Champmeslé dans les tragédies de Racine. […] Mlle Du Croisy, la mère, resta, disent les historiens du théâtre, dans la troupe de Molière quoiqu’elle n’eût aucun talent et qu’elle déplut au public. […] peu de talent, assez peu d’agrément personnel et de jeunesse : c’était pourtant toute sa dot. […] Non-seulement elle joua les rôles tragiques et les rôles d’amoureuses comiques, mais selon le Mercure de France : « Elle joignit au talent de déclamation et du jeu du théâtre celui de la danse.

/ 171