Le théâtre qui commençait à fleurir alors, détermina Pocquelin à s’associer avec quelques jeunes-gens qui avaient du talent pour la déclamation. […] Il employa ces années à cultiver son talent, et à préparer quelques pièces ; il en fit alors pour la province, plusieurs en prose qui sont aujourd’hui absolument ignorées. […] Il encourageait souvent par des présents considérables, de jeunes acteurs, sans fortune, dans lesquels il remarquait du talent. […] Il éleva et il forma un autre homme, qui par la supériorité de ses talent, et par les dons singuliers qu’il avait reçus de la nature, a mérité d’être connu de la postérité, c’était le comédien Baron* qui a été l’unique dans la tragédie et la comédie.