Il se glorifie d’avoir tué cet animal féroce ; il veut lui couper la tête, comme un garant de sa victoire ; il s’avance du lion, qui remue la patte ; Arlequin fuit en disant : Je ne m’arrête pas deux fois au même ouvrage. […] Arlequin les greffe sur sa tête, & croit avoir une force extraordinaire. […] La Princesse, qui n’a pas été insensible à l’amour de Sigismond, vient le délivrer à la tête d’une armée. […] Arlequin, qu’on avoit enfermé dans la tour, met la tête à une lucarne pour prendre l’air ; on lui demande s’il est le Prince Sigismond : il répond, comme le Sganarelle du Médecin malgré lui : oui & non, selon ce que vous lui voulez.