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215. (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908

Racine, en particulier, repentant, converti, entièrement retiré de la littérature depuis 1677, avait d’autres soucis en tête que d’écrire des libelles orduriers. […] Une nouvelle et double aventure se serait greffée sur celle-là, Durant les représentations de la Princesse, « Armande devint folle du comte de Guiche, et le comte de Lauzun devint fou d’elle ; » irritée des dédains du premier, elle se jeta résolument à la tête du second.

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