Racine, en particulier, repentant, converti, entièrement retiré de la littérature depuis 1677, avait d’autres soucis en tête que d’écrire des libelles orduriers. […] Une nouvelle et double aventure se serait greffée sur celle-là, Durant les représentations de la Princesse, « Armande devint folle du comte de Guiche, et le comte de Lauzun devint fou d’elle ; » irritée des dédains du premier, elle se jeta résolument à la tête du second.