Trouve-t-on que les larmes de Pantalon, que ses exclamations touchantes sur son malheur & celui de sa fille qu’il a immolée, se marient agréablement avec les ris qu’Arlequin excite lorsqu’il veut se cacher dans une cheminée, & que, le feu prenant dans la maison voisine, il reçoit sur la figure l’eau qu’on jette pour arrêter l’incendie ; lorsqu’il veut grimper dans la maison de Colombine par une fenêtre, & que le balcon lui tombe sur la tête ; lorsqu’après s’être fait un lit d’une botte de paille, des voleurs y mettent le feu ; & mille autres folies ?