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16. (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454

Il résulte de là une intrigue fort embrouillée et extravagante  : Thomas Corneille reconnut lui-même plus tard — dans l’édition de 1660 — la faiblesse de son sujet ; de ses sujets en général, aurait-il pu dire. […] Ne leur demandons donc pas des sujets au fond neuf. […] Comment donc alors les classiques renouvellent-ils les sujets ? […] Dès lors tous les sujets deviennent bons. […] Le sujet est donc important, et mérite un examen approfondi.

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