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157. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

Si quelque chose peut sembler inutile, en ce monde où tant de choses et de gens sont inutiles, c’est une conférence de plus sur un sujet qui a déjà fourni matière à tant de conférences. […] — Il est vrai, j’ai sujet d’en être réjoui !. […] Le sujet passionnait la ville et la cour ; Molière allait jouer sa pièce chez le comte de Soissons, chez le duc de Richelieu, chez Colbert, chez la maréchale de l’Hospital ; les vacances de Pâques interrompirent seules le succès. […] Mais il faut que je m’arrête ici : l’amour de mon sujet ne m’a que trop entraîné déjà. — J’espère d’ailleurs, toucher prochainement un mot de cette histoire, dans une autre conférence sur le chef-d’œuvre que je viens de nommer. […] Il n’existe pas de comédie plus gaie ni de sujet plus grave.

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