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175. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64

Il ne conçoit ni ne peint l’abstraction romanesque de l’homme qui n’a rien à faire qu’à suivre l’appât du plaisir ou la pente de la sensibilité : ses conceptions, si artistiques qu’elles soient, conservent toujours quelque chose de pratique. […] I :   Toujours au plus grand nombre ou doit s’accommoder,   Et jamais il ne faut se faire regarder ;   L’un et l’autre excès choque, et tout homme bien sage   Doit faire des habits ainsi que du langage,   N’y rien trop affecter, et sans empressement   Suivre ce que l’usage y fait de changement.

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