Ce goût naturel est innocent, pourvu qu’on le modère ; car si la jeune fille s’y livre avec excès, il peut avoir des suites fâcheuses pour elle. […] Si elle jouait un rôle plus important dans la pièce, ou si nous connaissions la suite de son histoire, peut-être aurions-nous en elle la femme qu’il nous faut. […] Henriette prend la vie et le mariage pour ce qu’ils sont, sans tant raffiner : Les suites de ce mot, quand je les envisage, Me font voir un mari, des enfants, un ménage, Et je ne vois rien là, si j’en puis raisonner, Qui blesse la pensée et fasse frissonner.