N’en frissonnez-vous point et pouvez-vous, ma sœur, Aux suites de ce mot résoudre votre cœur. Les suites de ce mot, quand je les envisage, répond Henriette, Me font voir un mari, des enfants, un ménage, Et je ne vois rien là, si j’en puis raisonner, Qui blesse la pensée et fasse frissonner.