L’idée première de « le Philinte de Molière ou la Suite du Misanthrope » ne vient pas de la fameuse note de Rousseau. […] D’abord ce prompt détachement du moi tient de l’étourderie, de l’homme qui a la tête à l’évent et qui n’a pas de suite dans les idées. […] Le Malade imaginaire ne pouvait pas entrer dans la suite des idées de Rousseau songeant à Molière. […] Ainsi de suite. […] Ainsi de suite, et c’est par les parties les plus médiocres, sinon les plus misérables, de leur intellect, que les grands écrivains se font une clientèle posthume et sont immortels ; et aussi bien il serait un peu extraordinaire que ce fût par les plus hautes.