Nous aurons dans la suite occasion d’en rapporter quelques-unes : en attendant, le lecteur peut se rappeller le Festin de Pierre : & la Religieuse qui vient y faire deux scenes larmoyantes, n’est-elle pas bien plaisamment intéressante ? […] M. de Pourceaugnac arrive par le coche ; heureusement Sbrigani le sait déja par cœur, & il a trouvé en lui un esprit tout-à-fait propre à être berné : on exhorte Julie à feindre, à laisser croire que M. de Pourceaugnac lui plaît beaucoup ; nous ne savons pas pourquoi : tant mieux ; nous desirons bien mieux la suite, sur-tout lorsque nous avons vu M. de Pourceaugnac. […] Remarquez qu’il a l’adresse de ne pas nous expliquer ce qu’il a dessein de faire, afin de nous intéresser davantage à la suite.